Défaite 3 - 1
Quelle honte ...
Avant même de débuter ce match, on s'est tiré une balle dans le pied : Piètre et Samba Traoré dans les tribunes, Milhomme à la place de Jean Traoré ... mais on n'était pas au bout de nos surprises.
Notre gardien se troue très tôt dans le match. Ca ne lui était pas arrivé depuis très longtemps. Mais la suite ... à 10 contre 11 dès la reprise, puis même à 9 contre 11 (!), nous n'avons pas été capables de l'emporter, alors qu'on était revenus au score en 1ère mi-temps grâce au coup franc de Diaby, ce qui constituera d'ailleurs le seul moment où il a joué juste.
Gadjard a été catastrophique et a mis la panique dans la défense en multipliant les bourdes, alors que Traoré et Collin ont été très bons mais n'ont pas pu compenser la faiblesse de leurs latéraux. Tout cela sous les yeux d'un Gomis sans réaction. 'Gadjard en défense central'e, 'Gadjard au milieu', 'Gadjard en arrière latéral', on aura (presque) tout eu cette saison, mais surtout le pire. La meilleure solution serait 'Gadjard dans les tribunes', mais ça ...
Salep a joué à l'envers, peut-être perturbé par sa blessure au poignet qui l'empêche de s'engager complètement comme il le fait d'habitude. Harrouard a été incisif par à-coups. Pinto rentré en 1ère mi-temps à la place de Lebigot (blessé ?) s'est donné à fond, essayant de rattraper les erreurs multiples de Gadjard.
Harel a été en retard sur beaucoup de ballons et a manqué une action en or très tôt dans le match, parce qu'il a précipité son geste. Il n'a pas senti les coups. Milhomme a chassé les mouches et a eu très peu d'influence sur le jeu, autrement dit il a été à son niveau. Il était donc à son maximum il y a 15 jours ...
3-1 c'est sévère, et l'arbitre, nullissime, a bien aidé Ivry en sifflant un pénalty imaginaire.
On va devoir commencer à regarder un peu derrière nous au classement. J'espère que pour la saison prochaine des décisions seront prises à la tête du club pour avoir un vrai entraîneur qui ne fait pas jouer ses chouchous et s'entête dans des choix incompréhensibles, alors que souvent nous avions des possibilités sur le banc.
Un moment donné, c'est au président, même en cours de saison, de taper du poing sur la table pour réveiller les joueurs et mettre en évidence que les choix de l'entraîneur sont dangereux !